jeudi 4 août 2016

Nouvelles directives de la FECOFA pour la profession d’entraineur

Constant Omari Selemani, Président de la Fecofa le 30/03/2012 à Kinshasa, lors du séminaire de formation organisé par l’Union des Femmes Reporters Sportives d’Afrique (UFRESA/ RDC) . Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
La Fédération congolaise de football association (FECOFA) a fixé les conditions d’exercice de la profession d’entraineur et médecin au sein des clubs de l’élite participant au championnat de la LINAFOOT. Le document de la FECOFA, publié le 14 juin dernier, est parvenu à Radio Okapi vendredi 29 juillet.
L’entraineur en chef doit être titulaire d’un diplôme d’entraineur le plus élevé qui existe au sein de la FECOFA ou tout autre diplôme étranger validé et équivalent, reconnu comme tel par la CAF.
Il doit aussi être titulaire d’un acte de reconnaissance de compétence délivré par la FECOFA, après avis favorable de la direction technique nationale.
Pour les entraineurs étrangers, il faut être titulaire d’un diplôme le plus élevé et avoir au moins trois ans d’expérience. Puis obligation est faite à tout club de conclure un contrat de travail avec l’entraineur en chef, l’adjoint et le médecin en chef en déterminant la durée, les modalités de rémunération et reconnaitre la compétence exclusive des juridictions sportives en cas de différents.
La FECOFA oblige les clubs à avoir un médecin responsable qui sera chargé de la prévention du dopage. Ce médecin doit bénéficier du numéro d’ordre.
Des sanctions sont prévues pour les clubs qui ne rempliraient pas ces différentes conditions. Ces sanctions iront du paiement d’amendes à l’interdiction de participer au championnat.

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