Sanga Balende,Tp Mazembe et V.Club se bousculent au portillon pour s’approprier les services du coach Epoma Bolenge qui a quitté Daring Club Motema Pembe.
Que va devenir l’ancien coach de Daring après la suspension préventive lui infligé par le président du comité de direction de Daring Club Motema Pembe suivie de sa démission ?
Nous lui avons posé la question et il a répondu comme suit : « Je vais m’occuper des mes affaires personnelles. Mais j’ai les yeux et les oreilles encore braqués vers Le Tp Mazembe, Sa Majesté Sanga Balende et l’As V.Club. Les dirigeants de ces clubs m’avaient dit qu’ils aimeraient bien me voir prêter main forte à leurs staffs techniques respectifs. Je ne regrette pas outre mesure mon départ de Daring. La vie est ainsi faite.
Evidemment, je n’avais pas beaucoup apprécié la manière dont il s’est pris pour me « suspendre préventivement » parce que Daring venait d’être débarqué par la formation burundaise de Lydia Ludic Academic. Beaucoup de daringmen pensaient à tort que l’équipe du Burundi n’était pas un foudre de guerre. La preuve, elle vient de débarquer l’Asec Mimosas d’Abidjan qui n’est pas n’importe quel club sur le continent. Le problème était ailleurs.
Les raisons de la déconfiture des Immaculés se situe au niveau de l’organisation du club, du climat très malsain qui règne au sein de l’équipe, des entraînements irréguliers, du moral au rabais des joueurs, des conditions tant matérielles que morales qui ont entouré la préparation, le voyage, etc.
Le football évolue vite, il se modernise et toute personne qui aspire à l’éclosion du club doit se mettre au pas. Bref, la réussite se prépare avec minutie. Cela vaut pour toutes les équipes congolaises en général. Souvent, les entraîneurs ne sont que des boucs émissaires », explique Epoma.
Moralité, le mal qui ronge Daring est très profond. On ne peut pas réussir dans la division et les querelles intestines. L’heure est venue pour que les Daringmen se mettent autour d’une table pour penser les plaies et repartir sur de nouvelles bases, des bases heureuses et productives.
Fernand Mukaku Lalabi-Muke/L’Avenir
Nous lui avons posé la question et il a répondu comme suit : « Je vais m’occuper des mes affaires personnelles. Mais j’ai les yeux et les oreilles encore braqués vers Le Tp Mazembe, Sa Majesté Sanga Balende et l’As V.Club. Les dirigeants de ces clubs m’avaient dit qu’ils aimeraient bien me voir prêter main forte à leurs staffs techniques respectifs. Je ne regrette pas outre mesure mon départ de Daring. La vie est ainsi faite.
Evidemment, je n’avais pas beaucoup apprécié la manière dont il s’est pris pour me « suspendre préventivement » parce que Daring venait d’être débarqué par la formation burundaise de Lydia Ludic Academic. Beaucoup de daringmen pensaient à tort que l’équipe du Burundi n’était pas un foudre de guerre. La preuve, elle vient de débarquer l’Asec Mimosas d’Abidjan qui n’est pas n’importe quel club sur le continent. Le problème était ailleurs.
Les raisons de la déconfiture des Immaculés se situe au niveau de l’organisation du club, du climat très malsain qui règne au sein de l’équipe, des entraînements irréguliers, du moral au rabais des joueurs, des conditions tant matérielles que morales qui ont entouré la préparation, le voyage, etc.
Le football évolue vite, il se modernise et toute personne qui aspire à l’éclosion du club doit se mettre au pas. Bref, la réussite se prépare avec minutie. Cela vaut pour toutes les équipes congolaises en général. Souvent, les entraîneurs ne sont que des boucs émissaires », explique Epoma.
Moralité, le mal qui ronge Daring est très profond. On ne peut pas réussir dans la division et les querelles intestines. L’heure est venue pour que les Daringmen se mettent autour d’une table pour penser les plaies et repartir sur de nouvelles bases, des bases heureuses et productives.
Fernand Mukaku Lalabi-Muke/L’Avenir
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire