DCMP/K a eu raison de Pijec 3 sets 0, mardi au terrain annexe du stade des Martyrs, dans le cadre à la Ligue de volley-ball de Kinshasa.
Trois matches comptant pour la 2ème journée du championnat de la Ligue de Volley-ball de Kinshasa ‘’Livokin’’ s’étaient joués au terrain annexe du stade des Martyrs. De ces trois matches, deux ont été gagnés par forfait et un seul s’est effectivement joué. L’équipe de VC DCMP/K a carbonisé celle de Pijec par 3 sets 0 ( 25-15, 25-14, 25-23).
En effet, en version féminine, l’équipe de Le Prosport ne s’est pas présentée sur le terrain face à Canon de N’Djili qui a gagné par forfait sans coup férir 3 sets 0. Quant au match de la version masculine, BCC-Mwangaza, nos appréhensions se sont clairement vérifiées. L’équipe de BCC qui ne jouit plus du soutien de la Banque Centrale du Congo dont elle porte le nom pour des raisons demeurées obscures à ce jour, n’a pu se présenter sur le terrain.
Elle a écopé d’un forfait 3 sets 0. Un appel pressant est fait au gouverneur. Si l’institution ne veut plus financer cette formation qui porte son nom, qu’elle veuille le signifier aux jeunes gens afin qu’ils adopter une autre dénomination et trouver des gens capables pour s’occuper d’eux. Signalons que cette situation date de plus de 5 ans t que cette équipe de BCC a eu à porter haut son étendard.
Antoine Bolia/L’Avenir
En effet, en version féminine, l’équipe de Le Prosport ne s’est pas présentée sur le terrain face à Canon de N’Djili qui a gagné par forfait sans coup férir 3 sets 0. Quant au match de la version masculine, BCC-Mwangaza, nos appréhensions se sont clairement vérifiées. L’équipe de BCC qui ne jouit plus du soutien de la Banque Centrale du Congo dont elle porte le nom pour des raisons demeurées obscures à ce jour, n’a pu se présenter sur le terrain.
Elle a écopé d’un forfait 3 sets 0. Un appel pressant est fait au gouverneur. Si l’institution ne veut plus financer cette formation qui porte son nom, qu’elle veuille le signifier aux jeunes gens afin qu’ils adopter une autre dénomination et trouver des gens capables pour s’occuper d’eux. Signalons que cette situation date de plus de 5 ans t que cette équipe de BCC a eu à porter haut son étendard.
Antoine Bolia/L’Avenir
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