La Liprobakin organise le championnat La Ligue provinciale basketball de Kinshasa tient du 27 mars au 7 avril 2013 dans la capitale, le championnat Mini-basket.
Une trêve est observée par la Ligue Provinciale de Basket-ball de Kinshasa, ‘’Liprobakin’’ depuis la fin de la phase aller de son championnat. Pour l’heure, la ligue qui pense à l’avenir de la discipline, organise le championnat mini-basket à partir de ce mercredi 27 mars jusqu’au 7 avril prochain au stadium des Martyrs.
Pour les nostalgiques, cette organisation tombe à point nommé puisque le basket-ball congolais a besoin de la régénérescence. Aujourd’hui, le basket-ball de ce pays est l’ombre de lui-même. Rien ne marche. Les clubs pataugent et les équipes nationales font de la figuration.
Et plus grave encore, avec la troïka instaurée par le gouvernement congolais, le basket-ball a gravement souffert en loupant plusieurs compétitions d’envergure telles que les championnats d’Afrique des Nations pour les différentes catégories d’âge pourtant après des qualifications arrachées dans la douleur. En termes de bilan, pendant un laps de temps, le basket-ball n’a bénéficié d’aucun titres, conséquence d’un passage à vide dans des compétitions internationales.
Et pourtant, il y a vingt ou trente ans, les basketteuses congolaises faisaient parler la poudre à travers tout le continent. Les années glorieuses du basket-ball sont donc derrière nous. Il faut désormais voir l’avenir.
Comment alors régénérer ? Cela n’est possible que si l’on pense aux tout petits. Voilà pourquoi nous saluons de deux mains l’initiative prise par la Liprobakin. Et nous pensons que c’est là le début d’une vision futuriste du basket-ball kinois. C’est là à coup sûr une recette qui pourra amener la sortie du tunnel. Qui dit mieux ?
Antoine Bolia/L’Avenir
Pour les nostalgiques, cette organisation tombe à point nommé puisque le basket-ball congolais a besoin de la régénérescence. Aujourd’hui, le basket-ball de ce pays est l’ombre de lui-même. Rien ne marche. Les clubs pataugent et les équipes nationales font de la figuration.
Et plus grave encore, avec la troïka instaurée par le gouvernement congolais, le basket-ball a gravement souffert en loupant plusieurs compétitions d’envergure telles que les championnats d’Afrique des Nations pour les différentes catégories d’âge pourtant après des qualifications arrachées dans la douleur. En termes de bilan, pendant un laps de temps, le basket-ball n’a bénéficié d’aucun titres, conséquence d’un passage à vide dans des compétitions internationales.
Et pourtant, il y a vingt ou trente ans, les basketteuses congolaises faisaient parler la poudre à travers tout le continent. Les années glorieuses du basket-ball sont donc derrière nous. Il faut désormais voir l’avenir.
Comment alors régénérer ? Cela n’est possible que si l’on pense aux tout petits. Voilà pourquoi nous saluons de deux mains l’initiative prise par la Liprobakin. Et nous pensons que c’est là le début d’une vision futuriste du basket-ball kinois. C’est là à coup sûr une recette qui pourra amener la sortie du tunnel. Qui dit mieux ?
Antoine Bolia/L’Avenir
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